George Hendrik Breitner 1857-1923

Reclining nude 1887-1888, Stedelijk Museum Amsterdam

Jeune fille en kimono blanc 1894, Rijksmuseum Amsterdam

GEORGE HENDRIK BREITNER.

James Jacques Joseph Tissot 1836-1902

Le bal 1883-1885, musée d’Orsay

Les voyageurs, Museum of Leeds

Le thé, Metropolitan Museum of Art New York

JAMES TISSOT.

George Washington Lambert 1873-1930

Hera 1924, National Gallery of Victoria Melbourne

A model resting

The sonnet

GEORGE WASHINGTON LAMBERT.

Valadon Suzanne dit Valadon Marie-Clémentine 1865-1938

« Que des hommes m’aient aimée, soit. Mais je veux être aimée des hommes qui ne m’auront jamais vue, qui demeureront à rêver et à m’imaginer devant un carré de toile où, avec mes couleurs, j’aurai laissée un peu de mon âme »
Suzanne Valadon .

Grand nu au tableau 1922

SUZANNE VALADON.

Jean-Léon Gérôme 1824-1904

Corinthe 1903-1904, plâtre polychrome, musée d’Orsay

Ce chef-d’œuvre étrange et dérangeant de Jean-Léon Gérôme
vient d’être acquis par le Musée d’Orsay dans la vente Sotheby’s Paris du 25 juin 2008 pour 456 750 € (avec les frais). La représentation de cette femme nue assise, les jambes croisées, ne portant en guise de vêtements que des bijoux, laisse une impression inoubliable. La peinture couleur chair et le canon classique donnent à cette personnification de la ville de Corinthe un aspect réaliste très fort, malgré sa taille réduite. Dans le même temps, la recherche de la pose, le regard perçant, le raffinement des bijoux, transforment cette figure en une image de la femme fatale, mystérieuse et vénéneuse, comme l’affectionnaient les artistes symbolistes.
Corinthe est une des dernières œuvres de Gérôme, réalisée en 1904-1904. Le plâtre polychrome acquis par Orsay provient directement des descendants du sculpteur.(Source : La Tribune de l’art)

Yamakawa Shuho 1898-1944

Dancer 1936

Korean woman with fan 1936

YAMAKAWA SHUHO

Grace Kelly 1929-1982

Depuis le 10 juin jusqu’au 16 août 2008, la Mairie de Paris et Frédéric Mitterrand, commissaire de l’exposition, rendent hommage à Grace Kelly autour d’une exposition à l’Hôtel de ville.

Née dans une famille bourgeoise de Philadelphie, la future star de Hollywood débute sa carrière sur les planches de Broadway avant de tourner au cinéma pour John Ford, Charles Vidor et surtout Alfred Hitchcock dans Le crime était presque parfait, Fenêtre sur cour et La Main au collet. Sur le tournage de ce film, elle rencontre le Prince Rainier de Monaco qu’elle épousera en avril 1956, devenant la Princesse Grace de Monaco et renonçant ainsi à sa carrière au cinéma.

Intitulée Les Années Grace Kelly, Princesse de Monaco, l’exposition rend compte des différentes facettes de la vie de Grace Kelly , depuis son enfance à Philadelphie jusqu’à son mariage avec le Prince Rainier de Monaco. Parfois qualifié de mariage arrangé, le lien unissant le Prince et sa Princesse est pourtant resté jusqu’au bout indeffectible et leur union quasiment sans nuage jusqu’à la disparition tragique de Grace Kelly le 14 septembre 1982.

Pierre- Laurent Brenot 1913-1998

« Brenot a su offrir la grâce et l’élégance éternelles aux Parisiennes d’hier et d’aujourd’hui ».
Jean Claude Brialy.

Isa

Publicité lingerie Matalva 1951

Le « père de la pin-up à la française », Pierre- Laurent Brenot est né à Paris en 1913. Dès son plus jeune âge il s’initie à la gravure et découvre les Arts graphiques à l’Ecole Estienne. En 1934 il donne ses premiers dessins au « Miroir du Monde » et à « Eve et Adam ». A partir de 1945 il participe, avec ses amis Gruau et Demachy, au magazine « Plaire » qui accueille alors les chefs d’œuvres du dessin de mode, tout en donnant de nombreuses couvertures à « Modes et Travaux ». Pour la revue « L’Illustration » il croque le monde de l’Opéra et de la Comédie Française. Si dès 1954 il va devenir l’affichiste vedette du Lido et du Casino de Paris il travaille également pour le cinéma et la publicité grand public (Chantelle, Lou, Primior, Kodak…) et crée cette pin-up made in France, coquine et insolente, que l’on va retrouver sur des dizaines de couvertures de « Paris Flirt » et de « La Vie Parisienne » avant de conquérir le monde. Pierre- Laurent Brenot reste lié aux marques prestigieuses telles Balenciaga, Balmain, Dior, Lanvin, Saint Laurent… et s’affirme comme l’un des maîtres de l’illustration et de l’élégance graphique.

Charles André dit Carle Van Loo 1705-1765

Psyché et l’Amour dans un char, Châteaux de Versailles et Trianon

L’Amour quittant Psyché, Châteaux de Versailles et Trianon

CHARLES ANDRE DIT CARLE VAN LOO.

Balthus 1908-2001

Mon occupation préférée c’est l’amour. J’ai eu 19 histoires d’amour importantes dans ma vie. Je trouve qu’il n’est plus très honnête, à notre époque, de rester toute sa vie avec la même personne.
Macha Méril .

La toilette de Kathy 1936

The white skirt 1937

Balthus a privilégié la figure d’adolescentes mystérieuses en flagrant délit d’impudeur ou d’innocence équivoque dans une œuvre à la fois exigeante et assoiffée d’absolu.Des amis comme Artaud ou Camus – pour lesquels il réalise les décors de ‘La peste’ au théâtre – célèbrent pourtant la beauté ambiguë de ses toiles : de jeunes filles dénudées et indifférentes aux regards voyeurs qui pèsent sur leur corps constituent en effet un motif récurrent dans son oeuvre. L’artiste souligne ainsi la solitude humaine, les rapports de silence et d’absence qui lient les êtres et les choses, la dissolution de la communication.

Felix Vallotton 1864-1925

Femme accroupie offrant du lait à un chat 1919, collection privée

Coquetterie 1911, collection privée

Tête-à-tête galants, nus, adultères, Félix Vallotton était un observateur clairvoyant de son époque. Né à Lausanne, il a étudié à partir de 1882 à Paris dans le cercles des Nabis, a écrit des pièces de théâtre et a travaillé comme illustrateur pour des journaux avant-gardistes. Ses nus sont aussi impudiques que sans vergogne et la mascarade des modèles portraiturés souvent déconcertante. Il se distingue de ses contemporains par les thèmes ironiques et critiques qu’il aborde: il n’a craint ni les allusions caricaturales ni tenté de sauvegarder une apparence d’idylle bourgeoise. Son art est indiscret, souvent traversé d’humour noir et de raillerie grinçante. Les étranges allusions, qui ont souvent outrepassés les frontières du supportable pour certains de ses contemporains, ont fait de Vallotton l’un des avant-gardistes les plus renommés sur le plan international à l’aube de l’époque Moderne.
FELIX VALLOTTON.

John Currin 1962-

The viel


Rippowam 2006

John Currin a la délicieuse manie d’étirer les corps de ses créatures humaines, en rajoutant quelque vertèbres supllémentaires à ses modèles. Ingres des temps modernes ? Son oeuvre possède un magnétisme propre à la tradition de l’hyperréalisme, bluffant de technique et qui entretient des liens étroits avec la pratique photographique. Mais, anti-mimétique, il ouvre sur le monde de l’imaginaire et de la chimère. D’inspiration érotique, l’oeuvre de Currin a pour sujet principal et presque exclusif celui de la femme.
On ne peut s’empêcher de créer des parallèles avec les Vénus du Quatroccento et l »esthétique des nus flamands des hautes époques renaissantes, ainsi que les statues colonnes allongées des portails romans et gothiques.(Source Le Blog Art)

Alexandre Cabanel 1823-1889

La Comtesse de Keller

Orphelia

Élève de François-Édouard Picot à l’École des Beaux-Arts,Alexandre Cabanel est second Prix de Rome en 1845 et passe cinq ans à la villa Médicis. Alexandre Cabanel atteindra une grande célébrité avec ses tableaux d’histoire, ses peintures de genre et ses portraits. La Naissance de Vénus, exposée au Salon de 1863 et acquise par Napoléon III, remportera un très vif succès. Elle trahira clairement l’influence d’Ingres.
Il évolue au fil des années vers des thèmes romantiques, telle Albaydé inspirée par un poème des Orientales de Victor Hugo. Les célébrités européennes et les collectionneurs américains se ruent sur ses tableaux et lui commandent des portraits. Ennemi des naturalistes et des impressionnistes, en particulier d’Édouard Manet, il est brocardé par Émile Zola et tous ceux qui défendent l’émergence d’un art moins suave et plus exigeant.

Roberto Fabelo 1951-

Cuba’s charismatic sacred cow

Sirena

Sirena for you

ROBERTO FABELO

Josepha, Sculpteur

Même pas peur


Bridgette

Peintre, sculpteur et surtout femme avant tout, Josepha ressemble à ses créations.
Plongée dans l’univers de la mode féminine, elle a appris au départ à habiller, parer, faire bouger, mettre en valeur le corps de la femme.
Puis un jour, elle ne s’est plus contentée du vêtement, elle a voulu créer la femme elle-même, et ce furent la peinture et la sculpture.

Cyd Charisse 1921-2008

Cyd with Fred Astaire


De son vrai nom Tulla Ellice Finklea, Cyd Charisse est une des icônes de la danse à l’écran. Après des cours de ballet dans sa jeune enfance, elle intègre la formation des Ballets russes en 1934. Elle interprète quelques petits rôles non crédités dans les années 1940, puis est remarquée pour son pas de deux avec Fred Astaire dans Ziegfeld Follies en 1946, qui lui procure un contrat de sept ans avec la MGM. En 1952, Gene Kelly choisit Cyd Charisse comme partenaire pour le numéro – muet – de Chantons sous la pluie. Ses qualités plastiques (notamment ses jambes) et artistiques lui permettent d’enchaîner avec son premier rôle principal parlant : Tous en scène de Vincente Minnelli dans lequel elle retrouve Fred Astaire. S’ensuivent au cours des années 1950 plusieurs succès de la comédie musicale qui la hissent au rang de star.
Le déclin du genre dans les années 1960 est aussi le sien, mais elle aura attaché son nom aux grandes heures de la comédie musicale.

John White Alexander 1856-1915

Young woman arranging her hair

Geraldine Russell

JOHN WHITE ALEXANDER.

Pieter Aertsen 1507-1575

La cuisinière

Market woman with vegetable stall 1567

Pieter Aertsen a joué un rôle essentiel dans le développement de la nature morte. Il donne aux objets et aux denrées une place toujours prédominante dans les compositions.

Edwin Lord Weeks 1849-1903

Sketch-Two nautch girls

Moorish girl lying on a couch, Rabat Morocco

EDWIN LORD WEEKS

Jean Jacques Henner 1829-1905

Idylle 1872, Musée d’Orsay

Jean-Jacques Henner commença ses études artistiques avec Gutzwiller, les poursuivit avec Gabriel Guérin à Strasbourg, enfin à Paris en 1847, il entra à l’Ecole des Beaux-Arts dans les ateliers de Drolling et Picot.
Reparti trois ans en Alsace, en raison du décès de sa mère, à son retour en 1858 le 1er Grand Prix de Rome, catégorie Histoire, récompensa son tableau “Adam et Eve retrouvant le corps d’Abel”.
Henner débuta au Salon en 1863, et dorénavant reçut une multitude de récompenses officielles.
Dans son atelier du 11, place Pigalle, Henner, peintre académique, recevait Manet et Degas.
Membre du jury du Salon, il n’hésita cependant pas à défendre Renoir pour son portrait de “Mme Charpentier et ses enfants” présenté au Salon de 1879.