L’amour, c’est quand l’envie vous prend qu’on ait envie de vous.
Henri de Toulouse-Lautrec .
The model resting 1889, Getty museum
HENRI DE TOULOUSE-LAUTREC.
L’amour, c’est quand l’envie vous prend qu’on ait envie de vous.
Henri de Toulouse-Lautrec .
The model resting 1889, Getty museum
HENRI DE TOULOUSE-LAUTREC.
Medea
THEODORE RALLI
La femme, ainsi, était toujours la bête de luxure, dont le prêtre simplement se servait aujourd’hui pour assurer le règne de Dieu.
Emile Zola .
Les amants
Paysage
Hugues Gillet a entrepris, à travers sa peinture, de donner une forme matèrielle, objectivée, exteriorisée à son univers personnel. Des figurations mi-végétales, mi-animales peuplent des paysages luxuriants ou des horizons sans heurts aux couleurs de terre brulée, comme autant de cauchemars révélés sur la toile.
Puis il accouple des formes humaines, visages impassibles, hiératiques, aux autres régnes végétal et minéral, pour donner forme à de nouvelles visions terribles, pour revisiter légendes et mythes antiques ou pour se faire témoin du monde contemporain.
Daffodil Dancer
This Southern Girl
DEBRA FRITTS
Pierre Paul Rubens avec Isabella Brant 1609, Alte Pinakothek Munich
Peter Paul Rubens est l’un des peintres les plus célèbres de l’Europe du 17e siècle, un génie artistique, un magicien coloriste qui a avivé les passions de son temps. Il eut une vie bien remplie. Pourvue d’une éducation artistique d’orientation catholique reçue dans la bonne ville d’Anvers, il part faire comme de coutume à cette époque son voyage en Italie. Il fut ensuite nommé, en 1603, auprès de Philippe III comme ambassadeur. Rubens rejoint alors Madrid et accède aux riches collections royales espagnoles. Son retour à Anvers s’effectue en 1608. Il bénéficie alors d’une renommé importante et d’une excellente réputation. Il fut même nommé peintre de la cour des archiducs Albert et Isabelle. Son prestige était telle que son talent s’arrachait dans toutes les grandes cours d’Europe, notamment en France et en Angleterre. L’art de Rubens exalte la vie sous toutes ses formes. De 1622 à 1624, Rubens exécute, pour la galerie du Luxembourg à Paris, les 21 grandes compositions de l’Histoire de Marie de Médicis. En 1630, âgé de 53 ans, il épouse une jeune fille de 17 ans, Hélène Fourment, qui sera son modèle de prédilection. Rubens pratiqua tous les genres et domina l’art flamand de son siècle au point d’influencer non seulement la grande école de peinture qui lui doit son style, mais encore l’architecture, la sculpture, la gravure, la décoration. Il a été le grand baroque septentrional, et son rayonnement s’est étendu bien au-delà des frontières de sa patrie.
A une époque où la société était dominée par les hommes, quelques femmes avant-gardistes et combatives évoluèrent aux côtés des peintres impressionnistes, dont elles furent d’abord les élèves (et souvent les modèles), avant de se forger une personnalité autonome et d’être reconnues à part entière par le milieu artistique. Parmi celles-ci, Berthe Morisot qui devint la belle-soeur de Manet en épousant son frère Eugène.
Jeune fille dans un parc, Musée des Augustins
Arrière-petite-nièce du peintre Jean-Auguste Fragonard, Berthe Morisot
étudie très tôt la peinture notamment en copiant des chef-d’ oeuvres du Louvre où elle découvre Fantin-Latour. Dès 1861, elle étudie auprès du peintre Jean-Baptiste Camille Corot et participe aux Salons de 1864 et 1865 où elle présente quelques paysages. Elle peint souvent des femmes, des enfants et des scènes familiales. En 1868, elle rencontre Edouard Manet pour qui elle pose : ‘Le balcon’, ‘Le repos’, ‘Berthe Morisot au bouquet de violettes’. En 1874, elle épouse son frère mais devient veuve en 1892. Elle tombe malade et confie sa fille au poète Stéphane Mallarmé et à Auguste Renoir pour son éducation artistique. Berthe Morisot est la seule artiste femme avec Camille Pissaro à avoir présenté ses toiles aux expositions impressionnistes.
Née d’un père artiste, Elisabeth Vigée Le Brun décide à l’âge de 14 ans de consacrer sa vie à l’art. Formée par un peintre elle épouse en 1775 Jean-Baptiste-Pierre Le Brun, un marchand de tableau avisé qui fera beaucoup pour la carrière de sa femme. A partir de 1780 Elisabeth Vigée-Lebrun devient la portraitiste de la haute société, elle sympathise avec la reine Marie-Antoinette et fera d’elle plusieurs portraits qui se trouvent au musée de Versailles.
Vigée-Lebrun, autoportrait 1789, collection particulière
Josephine Grassini in the role of Zaire, Musée des Beaux-Arts Rouen
Portrait de Marie-Antoinette dit à la rose 1783
Madame Molé-Raymond de la Comédie Italienne, musée du Louvre
Vigée-Lebrun, Autoportrait avec un chapeau de paille vers 1783
Madame du Barry
The vicomtesse de Vaudreuil, Getty museum
Louise Marie Adeaide de Bourbon-Penthiève, duchesse d’Orléans, Châteaux de Versailles et Trianon
Madame Vigée-Le Brun et sa fille, Jeanne-Lucie, dite Julie 1780-1819, musée du Louvre
Mme Rousseau et sa fille
Comtesse de la Châtre, The Metropolitan museum of Art
Hyacinthe Gabrielle Roland later Marchioness Wellesley 1791
Comtesse Catherine Vassillievna Skavronskaia, dame d’honneur de l’Impératrice Catherine II, musée du Louvre
Madame Vigée-Le Brun et sa fille, Jeanne-Marie Louise 1780-1819, musée du Louvre
Antoinette-Elisabeth Marie d’Aguesseau, comtesse de Ségur, Châteaux de Versailles et Trianon
Portraitiste attitrée de la Reine Marie-Antoinette, Louise Elisabeth Vigée-Lebrun dut fuir la France à la Révolution et quitta Paris en 1789 pour se rendre successivement à Rome, Naples, Vienne, Saint-Petersbourg et Berlin. Les démarches de son mari, le marchand de tableaux Jean-Baptiste-Pierre Lebrun, et du peintre David lui permirent d’être rayée en 1802 de la ‘liste des émigrés’ et de pouvoir regagner Paris. Pendant son exil, Vigée-Lebrun fut reçue dans toutes les cours européennes. C’est à Vienne, en 1793, qu’elle apprit la nouvelle de l’exécution de Louis XVI et de son amie Marie-Antoinette.
Maléficia 1905
Dessin à la gouache-modèle de lampe, la fée au paon 1901
Philippe Wolfers est l’une des figures belges prédominantes de l’histoire des arts décoratifs du XXe siècle et dont le rayonnement fut international. Sa carrière artistique, qui débuta vers 1890, couvre une période de quatre décennies. Les points culminants de son parcours se situent aussi bien dans l’Art Nouveau que dans la période Art Déco.
Philippe Wolfers était un véritable homme-orchestre de l’art. Il a abordé un nombre étonnamment élevé de disciplines : l’orfèvrerie, la joaillerie, le verre, l’art du meuble et la sculpture.
L’incomparable oeuvre de Philippe Wolfers influença grandement tout l’art de la bijouterie Art Nouveau. Inspiré par le Mouvement Symboliste et par ses thèmes oniriques, il utilisa de l’or, des pierres précieuses et des matériaux de valeur, pour créer des bijoux luxueux et élégants, ornés de motifs floraux, animaliers et de formes inspirées de la nature, de jeunes femmes sensuelles et délicates, de détails sinueux et symbolique
Sue and Peter Hill are the sculptors responsible for creating the slumbering green goddess, and are also responsible for the well known ‘Mudmaid’ at Lost Gardens of Heligan, in Cornwall. Via Garden Hopping
Vanitaas
Waiting
KENNY MENCHER
After apple picking
Gypsy
DORIAN ALLWORTHY
Faustine 1904, Musée d’Orsay
MAXWELL ARMFIELD
Woman with flowered hat and muff, Cincinnati art museum
PAUL ASHBROOK.
On serre toujours contre son sein celui qu’on aime et l’art d’écrire n’est que l’art d’allonger ses bras.
Denis Diderot .
La miséricorde Divine acceuillant le Repentir, Collection particulière
Dessin de femme nue allongée,musée du Louvre
HENRI DE TRIQUETI.
The moment
Romantic afternoon
AVTANDIL.
Woman with a guitar
Los Celos, Museo Nacional de Bellas Artes en Kalipe
JULIO ROMERO DE TORRES
Vor aussi MUSEO JULIO ROMERO DE TORRES
Dance at Bougival 1883, Museum of Fine Arts Boston
A chaque époque, de nouvelles définitions de la beauté féminine s’affirment et pourtant la femme reste femme, avec ses attraits et sa séduction. Pierre-Auguste Renoir peignit le bonheur de vivre des gens et le ravissement que lui inspirait la beauté feminine. Il préfère les femmes bien en chair, aux petits seins et aux lèvres pulpeuses. Ce n’est pas seulement l’expression des désirs les plus intimes du peintre, c’est bien d’avantage la réalité des belles femmes de la beauté de la fin du XIXe siècle. Renoir trace directement la réalité de l’existence des corps, avec leur beauté et leurs formes surprenantes pour les hommes et les femmes du XXIe siècle. Renoir, le peintre qui aimait les femmes, laisse ses émotions s’extérioriser à travers la couleur et sa sensibilité.
Fred Astaire and Eleanor Powel, Broadway Melody 1940
Fred Astaire and Cyd Charisse, The Band Wagon, 1953
Fred Astaire and Ginger Rogers, Follow The Fleet, 1936
Be-Bop en cave, Saint-Germain-des-Prés à Paris 1951
Jitterbugging in Paris, 1950. Photo by Paul Almasy
Le Tabou, Saint-Germain des Prés, Paris 1947 by Ronert Doisneau
Rocknroll sur les quais de Paris by Paul Almasy
Les premières indications sur l’exécution de danses datent de la Préhistoire, au paléolithique, où des peintures rupestres attestent de l’existence de danses primitives. Il s’agit avant tout d’un acte cérémoniel et rituel, adressé à une entité supérieure afin de: conjurer le sort (danse de la pluie), donner du courage (danse de la guerre ou de la chasse) ou plaire aux dieux (Antiquité égyptienne, grecque et romaine)
La danse primitive, couplée aux chants et à la musique, avait aussi probablement la capacité de faire entrer les participants dans un état de transe.
Juegos orientales
JOSE VILLEGAS CORDERO.