Archive pour décembre, 2009
Happy New Year – Bonne Année
Posted in Happy New Year - Bonne Année on 31 décembre 2009 by Femme Femme FemmeKees van Dongen 1877-1968
Posted in Kees van Dongen 1877-1968 on 28 décembre 2009 by Femme Femme FemmeL’amour est la plus vieille demeure du monde, qu’il faut sans cesse reconstruire, pierre par pierre sans jamais se reposer et croire que les sentiments sont acquis pour toujours. [Tahar Ben Jelloun – Extrait de L’Auberge des pauvres ]
La gitane ou la curieuse, musee de l’Annonciade St-Tropez
Nini, la danseuse aux folies bergères ou saltimbanque au sein nu
KEES Van Dongen.
Claude Verlinde 1927- (A la femme que j’aime…)
Posted in Claude Verlinde 1927- on 28 décembre 2009 by Femme Femme FemmeRespecter une femme, c’est pouvoir envisager l’amitié avec elle ; ce qui n’exclut pas le jeu de la séduction, et même, dans certains cas, le désir et l’amour. [Tahar Ben Jelloun – Extrait d’ Eloge de l’amitié]
La fée frileuse
Le parfum
Dans le tiroir
Claude Verlinde sent très tôt sa vocation et entre à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris puis à l’Académie de la Grande Chaumière vers l’âge de vingt ans. Très vite, la richesse de sa peinture, sa grande sensibilité maîtrisée par une technique rigoureuse, font de Verlinde un maître incontesté de l’art visionnaire de notre époque.
Plus proche de la Renaissance, il cherche avant tout le lyrisme et la liberté d’expression. Ce foisonnement d’images, cette créativité protéiforme dirigés par une grande force de réflexion en font un véritable esthète. Il n’est pas aventureux de dire que Verlinde est un philosophe-créateur qui lie harmonieusement réflexion et génie artistique.
Claude Verlinde, en plein XXème siècle, élabore une peinture où l’inconscient, libéré de toutes ses entraves, afflue avec son étrange répertoire. Il est très influencé par Jérôme Bosch, Cranach, Francisco Goya, James Ensor…
Bien qu’il ne s’en réclame pas, l’utilisation dans son œuvre d’éléments académiques pour traiter de façon décalée et ironique des thèmes contemporains, permet de le rattacher au postmodernisme.
Claude Verlinde.
Giovanni Battista Tiepolo 1696-1770
Posted in Giovanni Battista Tiepolo 1696-1770 on 25 décembre 2009 by Femme Femme FemmeJeune femme au perroquet, Ashmolean museum
Woman madolin
Giovanni Battista Tiepolo est un peintre rococo et un graveur italien typique de la circulation des artistes dans l’Europe des Lumières.
Ses œuvres sont célèbres à Venise et Bergame, et il finit par s’éloigner de l’académisme. Fresquiste virtuose, dominant le XVIIIe s. italien par son génie décoratif, le Vénitien Giambattista Tiepolo allie aux somptueux effets de luminosité et de théâtralité des exubérances formelles qui sont une apothéose de l’âge baroque. Comme un livre d’images précieuses, sa peinture exalte les splendeurs d’un monde aristocratique.
Marie-Paule Deville Chabrolle 1952-
Posted in Marie-Paule Deville Chabrolle 1952- on 21 décembre 2009 by Femme Femme FemmeMarie-Paule Deville Chabrolle, née à Meknès au Maroc le 15 juillet 1952, est sculpteur.
Elle intègre l’École des Beaux-Arts à Pau, passe deux ans à la Faculté des arts plastiques de Phnom-Penh au Cambodge. Très vite la présence de plus en plus régulière de ses bronzes dans les salles de ventes marque une étape importante de son parcours. Dès lors des collectionneurs privés se manifestent (Suisse, Allemagne, Angleterre, Portugal, É.-U.).
Trois à quatre expositions personnelles lui sont dédiées chaque année en France. Elle est distinguée par l’académie internationale Gréci Marino à Vinzaglio (Italie). Elle figure en 1997 dans le Mayer, catalogue mondial des ventes aux enchères, dans un recueil femme artiste du XVIIe siècle à nos jours, aux éditions Regards.
Ses sculptures inspirées, élégantes, sensuelles, raffinées, et ses sanguines forment un tout, une démarche globale.[citation nécessaire] Les déchirures, les ocres et les ors du Maroc, l’évidente beauté des sculptures Khmer, tout a laissé son empreinte.
C’est Marie-Paule Deville-Chabrolle qu’ont choisie les maires de France pour sculpter le buste de la Marianne de l’an 2000, dont le modèle était Laetitia Casta.
William Etty 1787-1849
Posted in William Etty 1787-1849 on 20 décembre 2009 by Femme Femme FemmeEtude de nu féminin vers 1825, musée Bonnat Bayonne.
Femme nue de dos, musée du Louvre
Nous sommes au début de l’ère Victorienne, cette période bénie des Anglais qui voient leur royaume se transformer en Empire. Gardienne de la « civilisation » face aux indigènes aux quatre coins de la planète, la société se veut morale et austère. Dans ce contexte, les nus de William Etty et de son disciple Frost apparaissent comme une provocation, alors que le peintre s’est toujours défendu de ne peindre que des allégories. Pour lui la femme est justement « la plus glorieuse œuvre de Dieu », et il ne prétend pas faire du voyeurisme sur ses modèles car sa technique consistait à faire un « patchwork » des parties du corps de différents modèles.
Julie Heffernan 1956-
Posted in Julie Heffernan 1956- on 17 décembre 2009 by Femme Femme FemmeSelf-portrait sitting on a world
Self-portrait as thing in the forest
JULIE HEFFERMAN.
Abraham Janssens 1567-1632
Posted in Abraham Janssens 1567-1632 on 15 décembre 2009 by Femme Femme FemmeMadeleine renoncant aux richesses de ce monde, Palais des Beaux-Arts de Lille
Allegorie de l’inconstance vers 1617
Venus and Adonis, Kunsthistorisches museum
Abraham Janssens van Nuyssen est un peintre flamand baroque né à Anvers (entre 1567 et 1576) et mort en 1632.
Il séjourna longtemps en Italie, où il s’appropria la manière des artistes de ce pays, et contribua puissamment à la chute définitive de l’école de Bruges qui avait dominé pendant tout le XVIe siècle.
Il a été l’élève de Jan Snellinck et est devenu maître en 1602 puis, en 1607, le doyen des maîtres-peintres. Il est mort dans sa ville natale.
Jusqu’à l’avènement de Paul Rubens, il pouvait certainement être considéré comme le plus grand peintre d’histoire de son temps. Le style des deux artistes était comparable mais, dans la précision du dessin, Janssens dépassait son contemporain. Si la composition de leur peinture et leur manière de traiter le nu artistique était semblable, Rubens avait une plus grande maîtrise des couleurs et d’une manière générale, une plus grande liberté dans son travail.
Maître du clair-obscur, il aimait que sa peinture soit faite de forts contrastes de lumière et d’ombre.
Herring and Herring photographies
Posted in Herring and Herring on 15 décembre 2009 by Femme Femme FemmeTribal
Herring and Herring
Charles Joseph Natoire 1700-1777
Posted in Charles Joseph Natoire 1700-1777 on 14 décembre 2009 by Femme Femme FemmeLe triomphe de Bacchus, musée du Louvre
La beauté rallume le flambeau de l’amour, Châteaux de Versailles et de Trianon
De son vivant, Charles Joseph Natoire était mis à l’égal de François Boucher. Directeur de l’Académie de France à Rome de 1751 à 1775, il jouit d’une grande autorité dans le monde artistique. Comme son maître François Lemoyne, il est le peintre de la grâce, de la volupté et de la joie de vivre. Sa touche chaude et sensuelle est sans doute trop gracieuse pour la peinture d’histoire, trop frivole pour la peinture religieuse. Il reste avant tout comme l’auteur de l’admirable suite de l’Histoire de Psyché pour le salon de la Princesse de l’hôtel de Soubise à Paris, ainsi que des cartons de l’Histoire de Don Quichotte pour la Manufacture de Beauvais, conservés pour la plupart au château de Compiègne.
Issu d’une bonne famille catholique originaire de Lorraine, Charles-Joseph Natoire est né à Nîmes en 1700, fils de Florent Natoire, sculpteur, et de sa femme Catherine Mauric. Son père, après lui avoir donné ses premières leçons de dessin, l’envoie à Paris en 1717 pour compléter sa formation dans l’atelier de Louis Galloche (1670-1761), peintre du Roi et professeur à l’Académie royale de peinture et de sculpture, puis auprès de François Lemoyne, dont l’enseignement le marquera fortement.
Francine Van Hove 1942-
Posted in Francine Van Hove 1942- on 13 décembre 2009 by Femme Femme FemmeJoanne à la fenêtre 1998, Private collection
La couette bleue 1997, Private collection
La liseuse 1996, Private collection
»L’ailleurs que Francine Van Hove nous dépeint est peuplé de jeunes femmes nues. La lumière qui les met en scène est précise et rend plausible un imperceptible décalage par rapport à la réalité.
Très naturellement ses personnages prennent des poses qui nous font ressentir le point d’équilibre fragile et sublime, séparant le quotidien d’un état plus parfait.
Ses figures et ses corps (elle peint d’après des modèles vivants) définissent certains canons de beauté. Cette aptitude est caractéristique d’un sens inné de la stylisation qui est toujours apparue nécessaire aux peintres ayant quelque prédisposition à se situer hors du temps.
La peinture de Van Hove possède la vertu essentielle de suggérer sans discourir. Elle a l’art de supprimer les intermédiaires entre les émotions et leur perception. Les sentiments les plus subtils, les allusions les plus ténues qu’elle nous adresse, nous parviennent avec une curieuse impression de netteté. Et la vibration de cette transmission est pur plaisir. » A. Blondel, (extrait d’une préface pour un catalogue publié en janvier 1984)
Auguste Toulmouche 1829-1890
Posted in Auguste Toulmouche 1829-1890 on 11 décembre 2009 by Femme Femme FemmeLe baiser
An exotic beauty in an interior, Private collection
Auguste Toulmouche est un peintre de la seconde moitié du XIXe siècle aujourd’hui totalement oublié. Son nom apparaît seulement dans les biographies de Claude Monet. C’est Toulmouche en effet qui accueille le jeune peintre à son arrivée à Paris et le dirige dans ses premiers apprentissages en lui conseillant de suivre l’enseignement de Charles Gleyre.
Pourtant, Toulmouche fut un peintre célèbre pendant tout le Second Empire pour ses toiles décrivant d’élégantes jeunes femmes bourgeoises. En un temps où la manière de représenter la vie moderne est au coeur du débat artistique, les toiles de Toulmouche n’ont pas échappé à la verve des critiques. Pour les uns, ce sont de bien jolies toiles bien peintes. Mais les critiques « d’avant-garde » voyaient en elle à juste titre une conception picturale en totale opposition avec l’Impressionnisme. Pour reprendre, le mot de Duranty, la « toulmoucherie » est bien le type même de peinture à éviter.
Guillaume Seignac 1870-1924
Posted in Guillaume Seignac 1870-1924 on 9 décembre 2009 by Femme Femme FemmePierrot’s embrace
Jeune femme denudée sur canapé
A la fin du XIXè siècle, il existe encore une multitude de courants picturaux. Et si la mode est à l’impressionisme, il existe encore d’irréductibles tenants de la peinture académique, dont Guillaume Seignac fait assurément partie. Son maître, William Bouguereau est, à l’instar d’un Cabanel, adulé du monde entier. Egalement appelés « artistes pompiers », ils perpétuent la peinture Ingresque, où le dessin est maître, et les sujets souvent inspirés de l’Antiquité, sont pretextes à peindre des nus délicats.
A l’opposé de cette tradition académique, la peinture naturaliste d’un Courbet montrant des nus peu idéalisés, faisait scandale.
Maurice Denis 1870-1943
Posted in Maurice Denis 1870-1943 on 8 décembre 2009 by Femme Femme FemmePlage, enfant au bonnet rouge 1909, musée Maurice Denis
Maurice Denis est l’un des principaux membres du groupe des Nabis dont il s’est fait le théoricien. Très impliqué dans les débats esthétiques de son temps, Denis peint dans les années 1890 des tableaux audacieux où les rythmes, la couleur posée en aplats, la composition donnent au tableau une force décorative. Influencé par l’art italien ancien, il s’oriente ensuite vers de grandes compositions plus classiques.
Ary Scheffer 1795-1858
Posted in Ary Scheffer 1795-1858 on 8 décembre 2009 by Femme Femme FemmeLes femmes souliotes, musée du Louvre
Scheffer reçoit d’abord une première formation en Hollande (il pastiche alors habilement Rembrandt) puis, ayant perdu son père, allemand, il arrive à Paris en 1811avec son frère et sa mère, eux-même peintres. Il s’inscrit à l’École des Beaux-Arts, dans l’atelier de Pierre Guérin, et fréquente celui de Prud’hon, des choix qui le font rompre assez tôt avec l’esthétique davidienne.
Dans les années 1820, l’artiste pratique tous les genres, actualité, histoire, littérature, religion, portrait, avec un égal succès populaire, souvent relayé par l’estampe. Philhélléniste et libéral convaincu, ami de Béranger, il passe à cette époque pour l’un des chefs de file du romantisme. Son frère Henri (1798-1862) et son neveu Arnold (1839-1873), respectivement peintre et critique, mènent dans son ombre des carrières qui confortent son influence. Du reste, Scheffer est le professeur de dessin des enfants du futur Louis-Philippe – notamment de Marie d’Orléans –, et sa position professionnelle s’en trouve par la suite favorisée, par exemple au moment de la conception du Musée d’histoire de France à Versailles. Il restera d’ailleurs assez lié aux Orléans pour ne jamais se rallier à Napoléon III.
Le musée de Dordrecht, sa ville natale, possède un fonds Scheffer important et son atelier à Paris, au cœur de la « Nouvelle Athènes », est aujourd’hui le Musée de la vie romantique.(Source : La Tribune de l’art)
Hébert Ernest Antoine Auguste 1817-1908
Posted in Hébert Ernest Antoine Auguste 1817-1908 on 7 décembre 2009 by Femme Femme FemmeTwo odalisques contemplating the bosphorus 1843
Hébert Ernest Antoine Auguste